Groupe de Paris des Anciens Élèves du Lycée Claude-Fauriel de Saint-Étienne

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Revue de presse

Cette rubrique est alimentée avec les extraits d'articles de presse consacrés 
aux activités du Groupe de Paris des Anciens de Fauriel ou à ses membres

France 3 Rhône-Alpes 05/01/2011

Le Progrès 18/07/2003  Le Progrès 09/07/2002 
Le Progrès 24/05/2001 Centre-Dimanche 22/04/2001  
Le Progrès 05/12/2000
  Le Progrès 06/10/2000
 Le Progrès 12/12/1988
(Renaissance du Groupe de Paris)

Les classes prépa du Lycée
(France 3 Rhône-Alpes 05/01/2011)

Début janvier 2011, les classes prépa du Lycée Claude-Fauriel ont été à l'honneur dans le journal de France 3 Rhône-Alpes.

Cliquer pour voir la vidéo.

Les anciens de Fauriel à Paris
(Le Progrès 18/07/2003 Alain CIGOLOTTI)

C'est par une visite de l'IGN (Institut géographique national) que vient de s'achever la saison de l'association des anciens élèves du lycée stéphanois.

Tout au long de l'année scolaire, ce ne sont pas les manifestations culturelles et conviviales qui auront manqué pour les anciens de Fauriel. C'est ainsi que récemment, et toujours sous la houlette de Jean Tardy, président du groupe des «A» de Paris, et d'Alain Tirard, une délégation a pu visiter à titre vraiment exceptionnel le coeur de l'IGN basé à Saint-Mandé. «Ici, avec neuf cents personnes, soit la moitié de l'effectif total de l'Institut, nous fabriquons essentiellement les cartes géographiques», devait préciser le responsable de la visite. Et d'ajouter que le reste du personnel, se partage entre la direction générale, rue de Grenelle, la base aérienne de Creil où l'IGN dispose de six avions dont un Mystère 20, un magasin de vente à Paris, vingt-trois agences commerciales en province, une autre traitant avec l'étranger, et bien sûr l'école de formation à Marne-la-Vallée.

Une visite en trois dimensions

Premier pôle d'intérêt, la découverte de la Photothèque nationale où pas moins de 5 millions de clichés sont stockés sur 40 kilomètres d'étagères Édifiant ! Cela va des créations de lignes du TGV en passant par les inondations, l'évolution des glaciers et le plan de votre commune au gré des années. Quant à la Cartothèque créée en 1943, elle est composée de 1,5 millions de cartes du monde entier conservées à plat sur trois étages.
A noter que l'une des premières remonte Louis XIV ayant chargé à l'époque Jean-Dominique Cassini, artiste italien, de concevoir la carie de France.
Dernière partie de la visite, l'imprimerie équipée de presses offset d'où sortent chaque année plus de dix millions d'exemplaires de cartes grand format en 2, 4 ou 6 couleurs. A l'issue de cette sortie très appréciée, Jean Tardy a soulevé un coin du voile des rencontres à venir la saison prochaine. On croit savoir que tout commencerait en octobre à Toulon avec la visite d'un sous-marin nucléaire d'attaque.

Alain CIGOLOTTI                                                                         

Jean Tardy chevalier des Palmes académiques
(Le Progrès 09/07/2002 Alain CIGOLOTTI)

C'est au lycée Louis-le-Grand que l'actif président de la section des Anciens de Fauriel à Paris s'est vu remettre le ruban violet des mains de Joël Vallat proviseur de cet établissement renommé et par ailleurs ex-élève du vénérable bahut stéphanois.

Il est des cérémonies qui font chaud au coeur. C'était le cas, peu avant la fin de l'année scolaire, dans le grand parloir du lycée Louis-le-Grand à Paris, quand Jean Tardy s'est vu remettre les insignes l'élevant au grade de chevalier des Palmes académiques.  « Je suis doublement heureux de m'acquitter de cette mission, déclarait Joël Vallat, proviseur de ce prestigieux établissement, en présence d'une soixantaine d'invités. D'abord parce que nous sommes tous deux issus du lycée Claude Fauriel de Saint-Étienne, et surtout parce que la mission que conduit Jean Tardy entre son Forez natal et la capitale pour les jeunes élèves intégrant tes grandes écoles parisiennes s'avère en tous points remarquable. ». Un éloge qui a beaucoup ému l'intéressé.

Jean Tardy, tout en restant très attaché au berceau familial niché à Saint-Chamond, après de brillantes études à l’École des Mines, s'est d'abord lancé dans le commercé international avant d'entrer chez Framatome où, à la direction dés affaires financières, il s'avéra, jusqu'à l'âge de la retraite en 1999, l'un des meilleurs experts français de l'épargne salariale.

Entre finance et confiance

Parallèlement, Jean Tardy devenait l'actif président du groupe des Anciens de Fauriel à Paris. De quoi, avec son réseau d'amis, offrir accueil, aide à l'hébergement, expérience, conseils et soirées culturelles et conviviales à tous les jeunes Ligériens intégrant les grandes écoles. L'Éducation nationale se devait de le distinguer,

«Sachez combien cette distinction et ces éloges me touchent, déclarait le récipiendaire. C’est vrai que je continue de mener une vie active entre mes amis de Fauriel et les associations auxquelles j’appartiens, dont, tout récemment, celle pour le développement de l'enseignement technique. Je reste persuadé que prendre et donner, c'est le plus beau des transferts qui puisse exister entre compétences et expériences. ». Et celui qui croit plus que jamais en la formation continue, d'affirmer que de toute sa vie l'être humain n'aura jamais fini d'apprendre,

Il fallait un mot de conclusion à cette cérémonie protocolaire, il revint à Renée Dumont, adjointe représentant Michel Thiolliére, sénateur maire de Saint-Étienne, et ex censeur du lycée Claude Fauriel : «Un cadre supérieur, membre actif du Club dés N°1 mondiaux de l'exportation et de celui des Ambassadeurs de Saint-Étienne, qui plus est soucieux du devenir de nos jeunes lycéens de Fauriel, sans oublier toutes tes autres étiquettes associatives cela méritait bien ton appartenance à l'ordre des Palmes académiques. » La cérémonie s'achevait autour d'un buffet, forézien comme il se doit. Ce dernier était proposé par Géraldine Blanchard-Vicard, une ancienne élève de Fauriel tenant épicerie fine dans le 9ème arrondissement parisien.
Après ça, qui osera dire que la Loire s'exporte mal?

Alain CIGOLOTTI

L'avenir des déchets nucléaires en question
(Le Progrès 24/05/2001 Raphaël SEFERIAN)

Jean TARDY, est également Vice-Président du Cercle Diderot de Saint-Chamond. Il y a organisé un Dîner-Débat le 21 mai 2001 pour répondre à la question: "Quel avenir pour nos déchets nucléaires?". Plus de 60 participants ont apprécié cet échange de grand intérêt.

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Dans le cadre d'un dîner débat, le Cercle Diderot, présidé par Jacqueline Colombier, 
a décidé de revenir sur le traitement des déchets nucléaires en conviant Michel Jorda, 
chargé de mission de la commission scientifique de l'ANDRA. 
Un rendez-vous apprécié par l'ensemble des participants, ravis de faire le point sur une question d'actualité.

Dans un esprit pluraliste, « approfondir notre réflexion sur les sujets importants du monde contemporain, la faire partager ». C'est par ces mots introductifs de la devise de l'association que Jean Tardy, vice-président du Cercle Diderot, décidait de donner le ton d'une soirée débat fort enrichissante.

Un rendez-vous au cours duquel furent abordées des préoccupations actuelles et touchant un domaine sensible puisque c'est l'avenir des déchets nucléaires qui animait les discussions entamées au restaurant de l'Arbre du voyageur autour de Michel Jorda, chargé de mission à la commission scientifique de l'Agence Nationale pour la gestion des Déchets Radioactifs (ANDRA).

Pour bien cibler le thème de le soirée, celui-ci décidait de revenir sur ce que sont les déchets radioactifs « qui correspondent à des matières ayant servi dans la médecine, l'industrie ou la recherche qui n'ont plus d'utilité mais qui contiennent des substances radioactives ». Une précision indispensable lorsqu'il faisait le point sur la réglementation française dans le domaine de la prise en charge de ces déchets pour lesquels deux éventualités son possibles et conduisent « pour 90% % des volumes au stockage définitif pour les 10 % restant qui représentent tout de même la plus grosse part de radioactivité, à l'entreposage consistant à garder les déchets dans une installation nucléaire dans l'attente d'une solution définitive ». Michel Jorda se penchait plus particulièrement sur cette dernière technique avec un exposé sur la loi Bataille de 1991 qui prévoit un procédé de stockage géologique alors que d'autres moyens comme la transmutation ou le conditionnement et l’enrobage des déchets figurent au niveau des études également envisagées. Si les progrès apparaissent évidents dans ce traitement des déchets nucléaires, Michel Jorda ne manquait toutefois pas de souligner les difficultés rencontrées dans la détermination des sites habilités à accueillir les laboratoires d'analyse « puisque à l'heure actuelle, seul le laboratoire de Bure pour un stockage dans l'argile, à la frontière de la Meuse et de la Haute Marne, a été retenu et est en cours de construction, Pour ce qui est d'un site en milieu granitique, les recherches sont encore en cours ». Donnant lieu à un véritable échange entre les convives et le spécialiste, le rendez‑vous était ainsi l’occasion d'aborder un thème sensible, sujet à de nombreuses interrogations. C'est aussi dans cette optique que le Cercle Diderot trouve sa raison d'être. Il l’a une nouvelle fors prouvé lundi.

                          RAPHAËL SEFERIAN

Au temps des années folles
(Le Progrès 22/04/2001 Alain CIGOLOTTI)

Le groupe parisien des Anciens de Fauriel a organisé une instructive visite du musée de Boulogne consacré aux années 30. En attendant un week-end alsacien programmé à la mi-mai.

Quand on est un ancien élève du lycée Claude Fauriel, où que l'on aille par la suite, on le reste toute sa vie. A Paris aussi ! La plus belle des preuves nous en a été une nouvelle fois apportée par le groupe qu'anime Jean Tardy en la capitale et dont le président général, Jacques Plaine, a tout lieu de se montrer particulièrement fier.

C'est ainsi qu'après une soirée consacrée à un Stéphanois, détenteur d'une chaire de cinéma à la Sorbonne, une équipe d'une vingtaine de fidèles, placée sous la conduite de Colette Berger, s'est rendue récemment au musée des années 30 situé à Boulogne. « Ce fut une bien agréable balade en des lieux peut-être moins connus que Beaubourg et compagnie », souligne avec un petit clin d'oeil humoristique Monique Bourgin, chargée de rendre compte de l'événement aux absents. «Mais je peux vous certifier que l'accueil souriant de notre guide, Marjorie Sauvage, ainsi que le côté spacieux et lumineux de l'endroit valaient vraiment le déplacement». De quoi aviver certains regrets ?

Entre tradition et modernité

Tout devait commencer par la découverte de quelques portraits mondains, après explication de l'évolution de la sculpture sous l'influence de Rodin et arrêt obligatoire devant le Grand Arlequin en fer signé Pablo Gargallo. Puis la traversée des décennies entre 1920 et 1940 s'accélérait un brin avec digressions adroites au passage sur les arts japonais, africain et religieux. Ce n'était pas tout à fait la Villa Médicis mais Bouchaud ou Duval, tout comme Suzanne Castille en Art Déco, avaient l'avantage pour l'époque de contribuer à des apports esthétiquement nouveaux. On aurait pu s'étendre sur certaine croisière jaune ou noire, mais vu la ville d'implantation de ce musée, chut, c'est donc au dernier étage que tout ce petit monde de Fauriel est descendu afin d'entendre parler voiture, chemin de fer, cocotte minute, mobilier style Leleu et architecture 1930 signée Le Corbusier. Alors là, sur ce dernier point, on était presque entre nous !

Alain CIGOLOTTI                                                                         

Balade sur la Seine pour les anciens du lycée Claude Fauriel 
(Le Progrès 05/12/2000 Alain CIGOLOTTI)

Une balade fluviale et une assemblée générale présidée par Jean TARDY
prouvent que toute une dynamique perdure bien entre Saint-Étienne et Paris.

Ils sont le trait d'union durable, solide et vivant entre les Stéphanois installés depuis un certain temps en la capitale, et ceux que la poursuite de leurs études et l'admission dans les grandes écoles amènent un jour à effectuer le même chemin en direction de Paris.

Mais, comme en aucun cas, il ne s'agit de parler d'exil douloureux, encore moins de déracinement fatal, l'association amicale des anciens élèves du lycée Claude Fauriel veille tout particulièrement à l'accueil de ces jeunes nouveaux. Présidée par Jean TARDY, elle multiplie d'ailleurs dans cette intention et les initiatives et les rendez-vous. Témoin : cette sortie automnale et fluviale entre Seine et Canal Saint-Martin suivie d'une assemblée générale positive.

Vous avez dit atmosphère?

C'est Philippe BARBUT, dans une brume à la Simenon, qui avait pour mission de faire monter à bord d'une péniche une trentaine d'anciens de Fauriel. «Mais, l'accueil très british du guide chargé de nous faire passer neuf écluses a mis aussitôt tout le monde à l'aise », explique, avec beaucoup d'humour Monique BOURGIN, chargée d'établir le rapport de cette odyssée.

Et c'est ainsi qu'entre le pont Napoléon, les 28 mètres de dénivellation à récupérer avant La Villette, le tunnel de la Bastille, le canal Saint‑Martin et son célèbre Hôtel du Nord, enfin l'ultime vue incomparable sur la Rotonde de Ledoux, tout le monde a débarqué satisfait de cette croisière partagée.

Pour le président Jean TARDY, ce fut également l'occasion d'ajouter une belle ligne supplémentaire au rapport moral de l'assemblée générale qui vient de se tenir tout récemment. « Entre réceptions, visites diverses, accueil, aide et conseils à nos jeunes étudiants stéphanois installés à Paris, on peut dire que l'année 2000 aura été bénéfique. Colette Berger s'y est employée, en liaison avec Renée DUMONT proviseur-adjoint et Mireille PACORET, professeur »  tenait à préciser avec chaleur ce dernier.

Tout en ajoutant dans la foulée que le prochain rendez-vous stéphano-parisien est fixé au mardi 12 décembre autour de Roger ODIN, professeur de cinéma à La Sorbonne. Et que le Programme 2001 prend forme avec, entre autres, la visite du musée Guimet et un week-end attractif à Mulhouse.

Site Internet

Le groupe de Paris des Anciens de Fauriel vient de créer son site Internet sous l'impulsion de Christian VOLLE. Pour le consulter : http://fauriel.paris.free.fr 

Alain CIGOLOTTI                                                 

Découverte de la Fondation Claude Monet à Giverny
(Le Progrès 06/10/2000 Alain CIGOLOTTI)

Les anciens de Fauriel à Paris

Placée sous la présidence de Jean Tardy, l’Amicale des anciens élèves du Lycée Claude Fauriel installés dans la capitale ne manque pas d’activités. Dernière en date, une rencontre à Giverny.

Ligériens d’origine, ayant fait leurs études au Lycée Claude Fauriel pour intégrer les grandes écoles, bon nombre  d’entre eux ont fait carrière en la capitale. Ce qui ne les a nullement empêchés d’être fidèles à leurs racines foréziennes. Mieux même, puisqu’à Paris, ils ont créé une association que préside Jean Tardy. « Nous tenons à rester en contact étroit avec nos homologues stéphanois et nous ne manquons jamais une occasion de nous recevoir mutuellement », rappelait tout récemment ce dernier lors d’un passage éclair dans sa bonne ville de Saint-Chamond. « Cela va de soirées conviviales avec réception d’un invité connu ou d’un conférencier de talent jusqu’à des soirées culturelles décidées en commun. »

Enfin, il est une manifestation à laquelle le groupe de l’« A » tient beaucoup, c’est celle permettant d’accueillir les nouveaux étudiants de Fauriel qui viennent à Paris pour y poursuivre des études.

Ils étaient donc une bonne vingtaine à se retrouver dans ce petit village de 400 âmes où le peintre impressionniste avait acquis de son vivant une propriété comprenant un jardin d’eau à la forme d’inspiration japonaise, le fameux clos normand conçu à la française et bien sûr la maison du peintre que son fils a léguée en 1966 à l’Académie des Beaux-Arts.

Après le repas, le groupe partait ensuite à la découverte des ruines imposantes de Château Gaillard qui dominent la Seine et que Richard Cœur de Lion avait fait construire en 1196 afin de barrer la route au roi de France ; Inutile de préciser combien cette sortie culturelle a été appréciée et annonce un calendrier des animations à venir plutôt prometteur.

D’ailleurs, le groupe stéphanois n’a-t-il pas déjà bien commencé la nouvelle saison avec la particpation à la récente marche sur le sentier Charles Exbrayat ? Alors que, toujours selon la tradition, Albert Sampré et ses amis préparent activement la réception des auteurs et éditeurs qui participeront à la Fête du livre.

Alain CIGOLOTTI

Stéphanois de Paris - Les Retrouvailles
(Le Progrès 12/12/1988 François BOUCHUT)

A l'initiative de Jean Tardy, un ingénieur des Mines, 
le groupe parisien des Anciens du lycée Claude Fauriel reprend vie. 
A la dernière réunion, ils étaient cent.

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Paris. En battant un bon rappel, on lèverait ici et sans trop d'effort, une immense armée d'Auvergnats. Avec les Bretons, on composerait tout aussi facilement quelques solides bataillons. Alors, sera-t-il possible de construire une compagnie de Stéphanois ?

La volonté existe chez quelques Foréziens qui vivent, depuis des années, la capitale au quotidien de leur profession.

Venus par les chemins de l'existence sur les bords de Seine, ils ont gardé les parfums et les goûts des terres de l'enfance. Et ils ont conservé quelques pensées douces pour leur premier pays.

Aujourd'hui, c'est un tout autre esprit qui anime Jean Tardy, un ancien taupin du lycée Claude Fauriel. Ingénieur civil des Mines, la cinquantaine svelte, il occupe d'importantes fonctions à la direction financière de Framatome. Gestionnaire de métier, il a tout à fait compris que l'heure du folklore local, pour sympathique qu’il soit, avait fait son temps. Oui, la râpée, quoique savoureuse, n'est pas suffisante pour donner un appétit conduisant à des rencontres suivies.

Une base, des locomotives et des jeunes
La base choisie par Jean Tardy pour relancer les relations entre Stéphanois devenus Parisiens a été la groupe en sommeil des Anciens Élèves du Lycée Claude Fauriel. Aidé dans sa démarche par le président Henri Bonche, il a effectué des recherches, glané des adresses, envoyé des courriers. II s'est entouré d'une équipe décidée et convaincue. Un secrétaire, Bernard Bouguin, 44 ans, lui aussi sorti de Fauriel et informaticien à la Caisse d'Allocations Familiales de la région parisienne.

Aussi, une jeune Stéphanoise, Catherine Chauvinc, élève de l’Institut supérieur du Commerce. Ensemble, ils ont organisé un premier dîner, le 23 mars passé. La table était mise, cœur oblige, au restaurent « Les Jardins de la Gare de Bercy », dont le maître a nom Albert Chazal, un Stéphanois ban teint

Les participants se compteront vingt et un. C'était certes peu mais pas de nature à décourager Jean Tardy et ses amis. Ils récidivèrent le 8 juin et ils demandèrent que l’on rajoute des couverts car, ce soir‑là, les Anciens de Fauriel vinrent à trente cinq. Pas encore la bousculade, mais une première et encourageante audience.

La troisième invitation était pour ce dernier mercredi. Et, voilà la bonne surprise, puisqu'ils furent près de cent à venir humer la fleur stéphanoise aux « Jardins de Bercy ». Il faut dire que Jean Tardy avait bien monté son coup. Quelques locomotives dont Maurice Denuzière à qui la Louisiane et ses espaces n'ont pas fait oublier un passage sur les bancs de la scolarité stéphanoise.

Également, Jacques Plaine, Roger Françon, et Jean Coudry, gardiens de la tradition. Mais le vrai évènement était, en fait, la présence d'une vingtaine de jeunes sortis, hier, du lycée Claude Fauriel pour intégrer une école parisienne, Centrale, Hautes Études Commerciales, Ponts et Chaussées…
Cent personnes et trois âges. Ceux que la cinquantaine a déjà pris, ceux qu’elle guette, enfin ceux qui l divisent encore par deux.
Un appréciable moment d'amitié, un pèlerinage savoureux du côté des souvenirs de bahut. Au delà des retrouvailles, la promesse que le groupe parisien des anciens eu Lycée Claude Fauriel a bien pris vie II saura apporter une aide effectivement précieuse à celles et a ceux qui, pour la première fois, posent un pied timide sur les quais de la Gare de Lyon.

François BOUCHUT

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